• > Objet : réunion des 3 établissements
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    > Bonjour,

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    > pour la réunion, la date du 2 juin à 18h00 a été retenue ainsi que la salle des invités à la Cité Scolaire Camille Claudel.

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    > Nous allons nous charger de diffuser l'information auprès des collègues des 3 établissements de Fourmies.

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    > A bientôt,

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    > Ghislaine


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  •  > Objet : Réunion à Fourmies
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    > Bonjour,
    > Les diverses réunions et rencontres que nous avons eues concernant la fermeture d'un collège à Fourmies font état de tensions, mais aussi de jeux d'influences plus ou moins politiques dans lesquels nous refusons de nous inscrire. D'autant que ce climat a des effets sur la sectorisation à Fourmies ne sont pas en accord avec les positions que nous défendons, tout particulièrement en matière de mixité sociale.
    > Pour nous (SNES), il n'est pas envisageable que cette réunion se tienne à Claudel. C'est une demande expresse des collègues des deux autres établissements. De plus la date ne convient pas aux collègues de Joliot-Curie qui ont une réunion importante le même jour. Cette date n'aurait pas été proposée si elle avait résultée d'une concertation entre les trois établissements comme nous l'avions préconisé. Nous ne nous inscrivons pas dans de telles pratiques unilatérales, tout simplement parce qu'elles exposent à la critique et font craindre l'instrumentalisation ou la récupération. Si une quelconque invitation a été diffusée, c'est regrettable, mais nous appelleront tous nos collègues à ne pas y répondre. Nous estimons que notre crédibilité à été mise en cause par cette démarche unilatérale.


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  • Sophie NOIRIEL
    professeur de SVT collège C Claudel à une collègue de J Curie
     
     une collègue syndiquée snes du lycée m'a fait parvenir mercredi une proposition du SNES pour une réunion qui réunirait les personnels des 3 établissements : les délais étaient courts donc nous avons paré au plus pressé. Je vous joins la copie du mail pour que vous puissiez juger par vous même. L'idée étant de confronter nos idées pour arriver solidaires à une éventuelle réunion de concertation avec M Baudoux et M Beck. Début mai , les chefs d'établissement ont été relancés pour fournir la liste des personnes retenues pour cette concertation (le 7 mai chez nous). Nous devions donc faire vite et avant les conseils de classe. J'espère avoir répondu à vos interrogations. Nous espèrons votre présence, même si elle est tardive. En effet de nouvelles rumeurs circulent (fusion ?), et cette réunion nous permettrait aussi de confronter nos informations.
    Cordialement,
    S. Noiriel

     

     

     

    > Objet : Re:Réunion à Fourmies
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    Bonsoir,

     

    oui, en effet, c'est tout à fait regrettable, surtout que le mail du S3 a été transmis à une collègue du lycée qui à son tour, l'a donné à la collègue du collège (non syndiquée) qui m'a donné l'information et a fixé la date du 2 juin.Je n'ai fait que relayer l'invitation auprès des collègues des 3 établissements. Voilà tout.

    Ne voyez en aucune manière une quelconque récupération et justement, nous nous battons pour maintenir les  3 collèges publics de notre ville, il y va de la survie du service public d'éducation dans notre commune.

    Je pense sincèrement qu'il y a beaucoup de malentendus, faut-il se réjouir de toutes ces suppessions de postes et de ces fermetures d'établissements ? Et soyez assurés que FO ne défend pas un collège mais bien les 3 collèges de Fourmies. Si certains collègues n'ont pas saisi l'importance, c'est désolant et navrant.

     


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  • Le SNES a rencontré le Vice-président Baudoux le 11 mai. La situation des collèges de Fourmies a été évoquée.

    SNES : La décentralisation a été présentée comme un outil permettant le rapprochement entre les élus et les usagers, la proximité devant être le gage d'une meilleure efficacité, d'une meilleure adéquation entre les décisions des élus et les besoins de la population. Le procès verbal du conseil d'administration du collège C. Claudel de Fourmies reproduit votre intervention dans la laquelle vous expliquez que le seul point acquis est qu'il faut fermer l'un des trois collège de Fourmies. A quel moment a eu lieu la concertation avec les usagers, antérieure aux CA où l'annonce a été faite, qui a permis de conclure à la nécessité de fermer l'un des collèges ?

    M. Baudoux : Les décisions et les fermetures de collèges sont le plus souvent le fait de la demande d'élus locaux et non la décision du seul conseil général. Les projets de restructuration sont toujours présentés aux CA des collèges et ceux-ci sont souverains. Rien n'est fait tant que les CA refusent le projet. Cependant, au-dessous de 200 élèves inscrits, un collège n'est plus « viable ». A ce titre, la situation du collège Joliot Curie est préoccupante, puisque cet établissement perd tous les ans une quinzaine d'élèves par le biais des dérogations. Il s'approche du seuil critique. De plus, pour le conseil général, la mixité sociale est un aspect important de la réflexion, or le collège Joliot Curie ne répond pas à cette exigence, du fait de son implantation, mais aussi parce qu'il est victime d'une campagne de dénigrement provoquant les demandes de dérogation. Pour l'instant rien n'est décidé, mais aucune limite dans le temps n'a été fixée. Une concertation est prévue sous la forme d'un groupe de réflexion qui comprendra des représentants de chaque collège.

    SNES : Ce mode de concertation est vu par les personnels des trois établissements comme un outil permettant d'une part d'afficher un semblant de concertation et d'autre part de faciliter l'adoption d'un projet déjà bouclé en amont. Par ailleurs, depuis que le Conseil Général a commencé ses opérations de restructuration, chaque fusion ou fermeture d'établissement a été assortie de 5 suppressions de postes d'enseignants et dans le cas où un établissement ferme, la situation des personnels concernés a toujours été défavorable et incertaine.

    M. Baudoux : Les autorités académiques m'ont toujours affirmé que ces opérations n'étaient jamais l'occasion de faire des suppressions. Je suis surpris. Vous auriez dû m'en faire part et je serais intervenu.

     

     


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